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La Chine : de l'empire du Milieu à l'empire du Mal

La Chine : de l'empire du Milieu à l'empire du Mal

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La Chine : de l'empire du Milieu à l'empire du Mal


L'actualité internationale de la Chine, des Ouïghours au Covid-19, doit nous interroger sur la place et le rôle de ce nouvel empire dans le jeu géopolitique mondial, mais aussi sur ses relations présentes et futures avec la vision civilisationnelle de l'Islam que nous défendons.

Sans verser dans des sentiments antichinois primaires (ou antiasitatiques), il n'y a aucun doute que la Chine représente, à tout point de vue, l'autre face du Monde, l'autre face de notre monde.

Quand je dis « notre monde », c'est bien évidemment celui de la Méditerranée et de toutes ses civilisations ; l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce, Rome et finalement l'Arabie islamique, leurs empires, leurs civilisations et leurs cultures. Notre Monde, c'est celui des trois grandes religions, avec leurs histoires et leurs berceaux, le Judaïsme, le Christianisme et l'Islam.

Les Romains avaient cette expression pour désigner la Méditerranée : ''Mare Nostrum'', que certains auteurs arabo-musulmans reprirent ('' بحرنا'') à l'apogée de la puissance islamique au X et XIème siècle pour désigner la Méditerranée occidentale, de même que les Turcs au XVIème siècle en Méditerranée orientale. Malgré l'immense diversité des populations et des cultures autour de cette Méditerranée, il est historiquement évident que nous appartenons tous à ce même coté du monde, en opposition avec celui représentée par la Chine. Il y a donc des filiations et un esprit commun, des relations qui forgent et se forgent, et malgré tout ce que l'on peut en dire (ou débattre) : une sensibilité humaine particulière et commune.

 

Considérons simplement l'aspect de la Religion/culture en Chine :

Pendant plus de 20 siècles, la Chine fut profondément marquée par le bouddhisme (venu d'Inde) et le confucianisme (de Confucius), or ni l'un ni l'autre ne sont des religions au sens où on la définit communément, voire même, ils ne peuvent pas être considérés comme des religions.

L'idée de Dieu, de Résurrection, du Jour du Jugement, de Paradis ou d'Enfer ou de Prophètes, leur sont totalement étrangères, et si de telles notions existent (?) ce n'est que par extrapolation et dérivation, des importations et influences tardives, mais toujours très marginales en réalité. De ce bain culturel émergent alors toutes sortes de philosophies et de spiritualités axées essentiellement sur l'éthique et la morale, recherchant sagesse et harmonie dans la société et la Nature : mais jamais d'esprit de transcendance avec un Divin Eternel, Supérieur et Incréé, jamais d'idées de croyances salvatrices à partager en commun avec l'humanité ou à leur transmettre. Non, rien de cela, seulement un ''individualisme spirituel'' tourné sur sa propre dimension terrestre.

De plus, démographiquement, la Chine fut, très tôt dans l'histoire de l'Humanité, un grand bassin de population, l'abondante et riche culture du Riz (jusqu'à 3 récoltes par an) a permis une très forte croissance démographique dès l'Antiquité. L'être humain, en tant qu'individualité, est invisible mais aussi écrasé par cette réalité : fatalement, sa valeur propre est inversement proportionnelle au nombre. Historiquement, on comprend aisément que les Royaumes et les Empires n'aient jamais hésité à sacrifier des dizaines voire des centaines de milliers de vies pour des intérêts très mineurs voir complètement inutiles (je n'évoque donc même pas la construction des Grandes Murailles...).[1]

De plus, depuis 1949, le communisme de Mao s'est donné pour mission de bâtir une nouvelle Chine tournant le dos à son patrimoine et son héritage millénaire : la révolution culturelle et le Livre Rouge ont eu pour but de liquider toute forme ancienne de tradition et de culture, vue comme archaïque, dépassée, inutile et dangereuse. Le maoïsme est l'une des formes les plus exacerbées du matérialisme marxiste. Bien évidemment athée, il est ultra progressiste, cherchant à créer un nouveau chinois, résolument tourné vers l'avenir et la création de son paradis terrestre.

Bien après Mao, la révolution (libérale) du « socialisme de marché » adoptée dès les années 80, parachève ce mouvement matérialiste communiste : la frénésie de l'activité économique a pour but l'augmentation du pouvoir d'achat, la recherche de la prospérité, l'accumulation de richesses, afin de jouir de tous les biens de consommation disponibles sur le marché mondial, pour ensuite, au terme de la vie, transmettre ce capital à leurs héritiers ; voilà le seul but (terrestre) du chinois. Et si l'Etat chinois a bien sûr d'autres objectifs beaucoup plus stratégiques et sur un plus long terme, tout ceci devient la seule et réelle préoccupation de vie des chinois contemporains.

Le chinois conformiste, c'est-à-dire, ces citoyens majoritairement "Han formatés" par cette longue Histoire et ayant suivi à chaque fois les voies tracées pour eux, développent très souvent une hystérie naturelle à l'égard de la Religion, l'idée leur est même insupportable et incompréhensible.

Sa capacité à s'écraser, voire à disparaître pour le « bien commun », l'intérêt supérieur de la Nation, lui permet de subir ce qui nous apparaît comme une déshumanisation inconsciente, un « autisme social », où même les Droits de l’Homme au sens occidental (postchrétien) sont une notion véritablement étrangère ayant du mal à se populariser et à s'ancrer[2].

Cette forme intériorisée « d'individualisme collectif » lui permet de vivre dans une société contrôlée dans tous les domaines, et à un niveau extrême, sans ressentir de dissonance, ni développer de forme de résistance, ni de volonté de résister. Tout ceci, par un système de surveillance électronique qui atteint un niveau ''Science-Fiction'' en attribuant des notes et des rétributions, stimulant d'autant plus le conformisme dans la recherche d'une citoyenneté parfaite...

En ce sens, la population chinoise est déjà cette population du futur, post-humaine et post-démocratique, que je dénonçais dans IIF en rappelant certains auteurs qui l'avaient déjà imaginée, un modèle de néo-civilisation pour l'être humain :

«  ...une société future imaginaire où personne ne rêve de croire que Dieu, ou la Vérité, ou la Nature des choses est de son côté. Dans cette utopie, personne ne pense qu'il existe quelque chose de plus réel que le plaisir ou la douleur, ou un devoir auquel il devrait se soumettre et qui transcenderait la recherche du bonheur... » (Milan Kundera)

« ...Vraisemblablement l'espèce humaine s'agrandira, mais il est à craindre que l'homme ne diminue, que quelques facultés éminentes du génie ne se perdent, que l'imagination, la poésie, les arts ne meurent dans les trous d'une société ruche où chaque individu ne sera plus qu'une abeille, une roue dans la machine, un atome dans la matière organisée... » (Chateaubriand)

Posons-nous cette question : quel point de convergence peut-il y avoir avec cette Chine de 1,3 milliard d'habitants, anciennement bouddhiste et confucéenne, puis marxiste-maoïste et aujourd’hui communiste socialiste au niveau politique et social, mais libérale au niveau économique ?

Il n'existe aucun trait d'union, aucune valeur historique commune, aucune sensibilité de l'humain et de l'humanité, individuellement ou collectivement comparable avec l'Islam et son esprit.

Vu de chez nous, l'individu, l'être humain ne semble être rien, sa valeur (sociale et politique) dépend de son utilité matérielle, son niveau de production, de consommation, et de soumission. Or, en Chine, il est soit remplaçable soit facilement éliminable...

La Chine ne représente pas l'autre face du globe, ou du monde, mais bel et bien l'antimonde : non pas celui où s'est développée une autre sensibilité humaine (acceptable), mais une sensibilité ''ahumaine''.

Aujourd'hui, en 2020, dans cette mondialisation ultra connectée où tout se sait, où rien ne peut plus être caché, que des Ouïghours musulmans subissent les pires exactions (au su et vu de tous, en raison de leurs cultures et leurs différences), plus encore que le cynisme de la Chine - non seulement sûre de sa surpuissance, comme de l'inexistence du ''monde musulman'' et l'état larvesque des chefs d'Etats -, cela montre son Droit multiséculaire à la Négation humaine.

Dans l'histoire de la Chine et à son échelle : l'interdiction du jeûne, de la prière collective, du voile, de la barbe pour les Ouïghours sont malheureusement de petites « anecdotes ».

La violence des camps de concentration, des disparitions, des exécutions sommaires, du trafic d'organes, du lavage de cerveaux, des vols et de l'endoctrinement d'enfants, stérilisation des femmes et mariages forcés, les politiques de contrôle et d'humiliation ignobles qui violent toute notion de dignité humaine, la destruction et l’effacement de l'identité musulmane ouïghour, tout ceci était donc largement prévisible et normalement inscrit dans la culture politique chinoise.

Profitant de la guerre occidentale contre le terrorisme, il était évident que la Chine allait mener, à sa manière et avec ses propres méthodes, à l'éradication totale de la question Ouïghour(s).

La Chine, ''Empire du Milieu'' est le véritable empire du Mal, c'est-à-dire très justement, l'Etat-civilisation qui n'a pas (ou peu) eu le sens du Bien et du Mal que nous avons eu, et que nous partageons en Méditerranée, que cela soit l'Islam ou l'Occident[3].

Or, les déclarations officielles, ou secrètes et officieuses, des dirigeants communistes chinois montrent que la notion même de Mal semble absente de leurs consciences, à ceci s'ajoute l'ivresse du sentiment d'impunité totale, due à l'importance et au poids économique, commercial et financier de la Chine (devenue pour tous un acteur incontournable et inévitable).

La différence avec le Monde occidental, l'Europe et les USA, est donc flagrante. Certes l'impérialisme occidental existe (et il est toujours le premier, d'ailleurs), certes ces différents pays luttent pour maintenir leur hégémonie géopolitique et leur leadership, continuent de vouloir imposer leur modèle de civilisation, discréditer et éliminer l'idée d'un modèle alternatif issu de l'Islam, certes les interventions militaires occidentales en Terre d'Islam sont légions et perdurent, les agressions se poursuivent, les ingérences dans les pays musulmans sont constantes, mais elles ne sont facilitées que par leurs laquais arabo-africains et leur complicité.

De fait, elles peuvent parfois aboutir à de graves exactions, mais toujours indirectes, jamais organisées ou directement planifiées. Ils cherchent toujours à cibler la menace pour l'éliminer, ils donnent des coups (Afghanistan, Somalie, Irak, Mali, etc.) et en reçoivent de manière asymétrique. (D’ailleurs, le seul bienfait géopolitique dans l’émergence de la Chine sur la scène internationale est cette possibilité de rappeler à l’Occident que son modèle n’est pas universel et que de nouvelles puissances peuvent émerger et rééquilibrer le “jeu des nations”.)

Or, la grande différence demeure qu'en Occident, nous avons affaire à des sociétés ouvertes, dans lesquelles critiques et autocritiques, luttes politiques, mobilisations et manifestations, sont possibles. Surtout que leurs agressions militaires et autres opérations politiques de type néocolonial ont des limites imposées par leurs propres opinions publiques et dont la manipulation a des limites : tout ceci n'existe pas en Chine.

Sans parler des valeurs humanistes, liberté de croyance et d'opinions, de dignité humaine et des Droits de l'Homme, le respect de l'individu au sens de personne privée ayant une autonomie propre, qui sont au cœur de la philosophie politique occidentale : tout ceci n'existe pas en Chine.

Ce qui veut dire qu'il est assez facile de montrer la contradiction et l'hypocrisie de l'Occident en mobilisant ses propres valeurs et son propre système de référence, un langage qui nous parle et que nous connaissons : or ce n'est absolument pas le cas avec la Chine. Il apparaît alors que la Chine représente à bien des égards l'anti-Islam, son inverse et sa négation, alors que l'Occident est simplement un contre-Islam, un opposé et son concurrent.

Pendant longtemps, surtout depuis les invasions mongoles, le monde asiatique a été perçu comme une menace constante dont la pression fut la plus forte et dont le flot était le plus difficile à stopper. Toutes les plus grandes (et graves) invasions qui mirent en péril le monde musulman sont en réalité toujours arrivées de l'Est.

Les croisades furent un épisode très limité, ne profitant que de la désunion et de l'émiettement du pouvoir en Orient : si bien que dès que la Syrie et l'Egypte furent unies sous une seule et même autorité, les états latins croisés ont été rapidement liquidés. Et ils n'ont perduré de manière résiduelle que par la volonté des derniers sultans ayyoubides, jusqu'à leur élimination finale par les Mamelouks.

Ceci alors que les invasions asiatiques ont éradiqué des populations entières, des villes de Perse et du Khorassan furent complètement rasées et disparurent, là où les Croisés se sont très souvent contentés de combattre, vaincre, expulser et/ou occuper (cf. Reconquista en Espagne). Même si, bien évidemment, des massacres ont existé, rien de commun, avec la tradition mongole...Et justement beaucoup d'interprétations et d'opinions ont assimilé certains peuples asiatiques de l'Orient aux Gog et Magog.

L'émergence de la chine à partir du XXème siècle, ses tentations impériales, son modèle communiste et son immense population ont fait dire à beaucoup de théologiens contemporains qu'il y avait un lien entre la Chine et ces deux entités[4]. Sur bien des choses, l'Inde Hindoue et la Chine Communiste représentent le même défi géopolitique et démographique qui pèsent sur l'Islam : le même éloignement, la même haine, la même volonté d'éradication, là où l'Occident ne cherche qu'à dominer, protéger et maximiser ses intérêts présents et futurs.

Or, que l'administration de Donald Trump soit celle qui ait le plus mobilisé la cause Ouïghoure, confirme une partie de cette analyse: nous ne sommes certes pas naïfs, cette cause a une très grande part d'opportunisme et permet d'accentuer la pression US sur la Chine, d'alourdir le dossier des contentieux et des rivalités de puissances.

Mais il y a un fond réel dans la mobilisation de valeurs chères à l’Amérique: Libertés individuelles, Droits et Respect de la dignité humaine. Trump parle à l’opinion publique américaine (et au monde occidental) en mobilisant des notions réelles qui ont du sens, même si leur utilisation est purement politicienne et tactiquement antichinoise. Et quoiqu'il en soit, Trump le mécréant, a pris des mesures claires et explicitement en faveur de la cause Ouïghoure, et cela a initié une multitude d'autres mesures publiques et privées aux USA en faveur des Ouïghours, cela alors que nos « bons chefs d'Etats musulmans » (pourtant tous pro-américains), n'ont pas eu une seule action symbolique à leur actif en faveur de cette cause.

Bizarrement, ici, ils n'ont pas imité ces occidentaux (Grande Bretagne, Allemagne, France) dans ses valeurs humanistes, de Droits, de Tolérance et de Liberté, tout porte à croire que la politique de ces tyrans infâmes est de ne les imiter que quand il s'agit de nuire à la cause civilisationnelle de l'Islam, à son intégrité et à ses intérêts...[5] Pire, l'axe du Mal des tawaghit arabes soutient très officiellement et publiquement la Chine : à savoir l'Arabie Saoudite, l'Egypte, le Bahreïn, les Emirats, mais aussi le Pakistan, allié historique de la Chine, et la Syrie, l'Irak, l'Iran.

Idem en ce qui concerne l'activisme de Raphaël Gluksmann en France : certains échafaudent des dizaines de théories complotistes, sur le pourquoi d'un tel engouement de la part d'un juif, mais aucun de ces cerveaux ''géniaux'' n'a de vision utilitariste pour profiter de cette dynamique et mobiliser en faveur de nos frères ouïghours.

Inutile d'aller « chercher la science en Chine » : l'empire du Mal nous apprend que notre mal empire, comme si nous étions les enfants d'une umma complétement hors de l'Histoire, orpheline inerte, condamnée à attendre le salut de ses ennemis ou à exciter la pitié de ses adversaires.

Il est difficile aux acteurs privés que nous sommes d'agir, car la véritable et efficace réponse doit être politique et menée par des Etats. Et comme toujours, il n'y a rien à attendre des Etats dits ''musulmans'' et de leurs propagandistes qui font passer les victimes pour des criminels et les despotes pour des Califes bien-guidés. Malheureusement, il y a bien plus à espérer d'une réaction de l'Occident... c'est dire.

S'il est difficile de boycotter le « Made in China », il est facile de cibler le boycott envers de grandes entreprises, celles de la téléphonie et d'internet, Huawei ou Tiktok qui détruit notre jeunesse.

Il est facile d'harceler les intérêts économiques, diplomatiques et commerciaux chinois en Europe, de les terroriser par les seules Idoles dont ils craignent de perdre les faveurs, les divinités Production, Exportation et Commerce. Il faut abattre le panthéon de la Chine moderne, et faire autant de mobilisations que possible. Barrer et détruire la « route de la Soie » faite des cheveux de nos sœurs : le silence et la discrétion sont toujours bons pour les affaires dit-on, alors c'est pourquoi il faut faire le plus de bruit possible, et peser sur l'opinion publique. Soutenir tous les acteurs qui participent à défendre cette cause !

Ceci en attendant que la Oumma ré-enfante des Sayf-Ad-Dîn Qotoz et des Malik Baïbar pour écraser à nouveau les menaces venant d'Asie.

 

Aïssam Aït Yahya



[1] Certaines dynasties impériales chinoises (Tang, Song et Ming), ont su tolérer - par intérêts économiques et commerciaux- Islam et Musulmans en donnant l'occasion à une culture musulmane « chinoise » de prospérer et de s'exprimer, mais dès que le monde musulman perdit de son influence et de son intérêt stratégique, cet état de tolérance de moins en moins intéressé, diminua. Les premiers massacres de masse, et les politiques d'élimination systématique des musulmans en Chine date de la fin du XVIIème. À l'aube du XXème siècle c'est déjà plus d'une dizaine de millions de musulmans en Chine qui furent éliminés.
[2] Remarquons comment cette idéologie des Droits de l'Homme a aisément plus d'écho dans le monde musulman que dans le monde chinois. Et le contre-exemple de Hong Kong et de son actualité (la volonté d'une partie de sa population de défendre Droits et Libertés menacés par les Lois de Sécurité mises en place par le gouvernement local prochinois) doit nous rappeler qu'elle fut justement une colonie britannique pendant 1 siècle...
[3] De nombreuses preuves et archives démontrent très aisément que même la plupart des Nazis savaient pertinemment le mal qu'ils firent à certaines populations pendant la GM2. Les travaux de Hannah Arendt démontrent que pour beaucoup d'entre eux, c'était simplement un mal nécessaire et des ordres à exécuter, dont ils se sentaient personnellement non responsables, rejetant la faute et la responsabilité sur les dirigeants de la politique génocidaire.
[4] Le cheikh Ibn Baz dans plusieurs réponses audio énonce que Gog et Magog proviendront très probablement de la Chine populaire et ses environs, le Cheikh Abderahman As Sa'di dans une Rissala ( يأجوج ومأجوج وفتنة الدجال) cite également la Chine mais aussi d'autres puissances.
[5] Le journal l'Express titre honteusement ''Le silence assourdissant des pays musulmans''.
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