Coronavirus : un autre angle de vue
[...]
Sans aucun doute, le coronavirus est un casse-tête inédit à l’échelle planétaire pour tous les gouvernements. Il est aussi un facteur d’angoisse pour certaines tranches de population, notamment toute personne âgée et /ou malade, voire même un simple adulte sans antécédent. Il est encore un test grandeur nature pour l’ensemble du système.
Enfin, et bien entendu, il est avant tout une épreuve individuelle mais aussi collective qui peut toucher n’importe qui sans opérer de distinction quelle qu’elle soit: ethnique, raciale, linguistique, religieuse, etc.
Toutefois, dans ces lignes, je souhaiterai élargir le spectre et agrandir notre vision autocentrée car l’Homme n’est pas seul sur cette Terre et il vit avec d’autres créatures, espèces, etc. Et pour ces dernières, le coronavirus constitue une période de brève accalmie, un court répit, une pause dans cet «assaut incessant» que notre planète -et tout ce qui la constitue comme êtres vivants qu’ils appartiennent au règne animal, minéral, végétal, ou autre -subit inlassablement et quotidiennement du fait de l’incessante activité humaine qui broie tout sur son passage, et notamment sape tous les écosystèmes.
Par le biais d’un virus microscopique, une des innombrables armées de Dieu, cet infime virus est en train d’ébranler un système entier lié à la globalisation et la mondialisation avec tout son cortège d’inégalités, d’injustices et d’imperfection qu’il contient, au premier rang duquel la destruction éhontée de la Nature, de ses écosystèmes, ses règnes, etc. mais aussi la surexploitation de sa faune, ses espèces, et évidemment les ressources et les richesses qu’elle recèle.
Pourtant, l’Homme n’est qu’une créature parmi d’innombrables autres créatures de Dieu, mais dans son égoïsme, son égocentrisme, son individualisme et son nombrilisme outrancier et outrageux -et on pourrait encore allonger la liste de qualificatifs péjoratifs - l’Homme s’est cru le centre et le maître du monde. Il arrache et déracine les arbres, il creuse et fore de plus en plus profond dans la croûte terrestre, il élimine et éradique des écosystèmes entiers, il prospecte sans cesse pour découvrir et trouver de nouveaux sanctuaires vierges à exploiter et rentabiliser, etc.
En fait, il supplante toutes les autres créatures et espèces issues de toute la pluralité et richesse des divers règnes qui existent à la surface de la Terre, peu importe que ces créatures appartiennent au règne animal, marin, minéral, sous-terrain, végétal, etc. Et encore, je me refuse à déplacer le curseur sur le plan métaphysique que constituent «certains autres mondes avec leurs entités propres» qui s’ils ne sont pas reconnus par certaines personnes, ne laissent pas insensible le croyant qui croit et reconnaît ces «autres mondes» qui cohabitent avec lui ou bien observent ses moindres faits et gestes, même si parfois il a tendance à oublier du fait qu’il est absorbé par l’insouciance dans le tourbillon de cette vie mondaine.
Mais les faits sont là, réels et tangibles : la Terre a mal, elle encaisse sans broncher, elle prend sur elle, et elle subit assaut sur assaut sans coup férir, etc. Parfois, avec son propre langage, elle fait part de ses doléances à son Créateur et se plaint à son Seigneur de la corruption qui règne à sa surface et en son sein à cause de l’exploitation effrénée de l’Homme.
Nos scientifiques ne comprennent pas le langage de la Terre, ils savent seulement le décrypter par intermittence, ils lui donnent divers noms : secousses telluriques, séismes, raz-de-marée, ouragans, tempêtes, tremblements de terre, tsunamis, etc. Mais, le croyant comprend son langage et compatit à sa peine car il est comme elle, soumit à Celui qui l’a créée et qui assiste à ces exactions jour et nuit, mois après mois, années après années.
Quelle bien vile créature que cet infime être au regard d’autres créatures si grandiose comme peuvent l’être une montagne, un ciel, une galaxie. Quel être insignifiant qui ne représente même pas une poussière d’étoile à l’échelle du temps géologique avec 60, 70, 80 ans de vie. Quelle fragile et frêle créature qui a oublié les circonstances de sa naissance, celles quand il est malade, et celles quand il sera dans le ventre de la Terre qui l’acceptera quand même malgré ses exactions et injustices commises à son encontre.
Il s’est lui-même arrogé le droit de tout saccager sur l’autel de son développement et du progrès technique quitte à avoir droit de vie ou de mort sur tant d’autres créatures qui ne représentent rien à ses yeux ou alors si peu : «un bien périssable», «une denrée alimentaire », «une marchandise superficielle », «une propriété personnelle », etc.
Lui aussi périra, deviendra une denrée pour les vers après sa mort et finira oublié dans les entrailles de la Terre. Et tout cela pour quoi ? Car là ce n’est plus seulement satisfaire son besoin vital, ou autre, une nécessité, une obligation. Ici, il est question de sans cesse assouvir son envie, son avidité, sa cupidité, etc. Ce que Gandhi résumait si bien dans sa parole :
«Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l’Homme, mais pas assez pour assouvir son avidité.»
Oui ! Malheureusement, pour sans cesse subvenir à ses besoins primaires de plus en plus insatiables, ses intérêts personnels jamais satisfaits, sa frénésie consommatrice jamais assouvie, etc. l’Homme peut vite se transformer en «un prédateur» implacable sur «une proie» prise en chasse. Le Darwinisme ne se cantonne pas seulement à la biologie. En effet, il n’est jamais très loin lorsqu’on parle commerce, économie, finance, etc. où c’est souvent le mieux armé, le plus évolué et le plus fort qui écrasera son concurrent et survivra dans la dure loi du marché de l’offre et de la demande.
Et je préfère uniquement rester dans une sphère individuelle et une échelle microéconomique car à la simple idée de me projeter dans une sphère collective et une échelle macroéconomique, je sens poindre une migraine en raison de tous les enjeux et intérêts qui entrent en ligne de compte au regard de tous les acteurs et forces en présence.
Du haut de sa petitesse mais de sa grande bassesse, l’Homme a fait ressortir tout son côté obscur empreint d’ignorance, d’injustice et d’insatisfaction qui le caractérise tant lorsqu’il n’est pas éduqué, refréné et tempéré. Pourtant, depuis tant de siècles, de nombreuses autres créatures côtoient et vivent à ses côtés. Nombre de ces créatures sont bien plus fortes que lui, plus grandes, plus majestueuses, etc.
Celles-ci n’ont jamais enfreint les règles naturelles, au contraire elles ont toujours été en harmonie avec leur élément et habitat naturel dans un minutieux et subtil équilibre que l’Homme est venu dérégler à chaque fois qu’il a interféré et s’est immiscé personnellement. En effet, ces créatures ne se sont jamais départies de leur fonction et rôle qui leur étaient assignés par le divin Créateur en étant toujours soumises à leur Seigneur.
Quant à l’homme, combien de fois a-t-il enfreint non seulement la Nature mais aussi et tout simplement sa propre nature, celle de sa «Fitrah», cette prédisposition innée et naturelle encline vers ce qui est bien et juste. En effet, l’Homme possède cette aptitude à distinguer le bien du mal mais aussi et surtout cette sublime raison dont il a été dotée, qui lorsqu’elle reste saine permet à l’homme de comprendre son environnement et d’y naviguer à sa guise tout en sachant rester à la place qui est la sienne sans outrepasser ses limites.
L’homme a un rôle fondamental et primordial à jouer dans cet équilibre naturel des choses, il ne doit pas être un «dérégulateur» et tout déséquilibrer. De par sa double nature, lointain héritage de son père Adam (paix sur lui), celle-ci est à la fois terrestre et céleste, faite de boue «crissante» et de souffle divin. Ainsi, l’Homme peut s’enfoncer et patauger dans cette terre qui est l’une de ses origines ou il peut s’élever et s’illuminer jusqu’à être mentionné au sein des hautes assemblées auprès de Dieu.
Il ne doit pas simplement côtoyer son semblable dans sa mondanité durant une courte vie éphémère sur Terre. Non ! Il doit s’élever et tirer son prochain vers les hautes cimes de la spiritualité en vue d’une longue vie éternelle dans une autre sphère. Tel est l’objectif vers lequel il doit tendre et telle est la finalité qu’il doit s’efforcer d’atteindre. Il doit reconnaître son indigence et sa petitesse afin de reconnaître l’omnipotence et la grandeur Divine.
Il doit percevoir les signes du Divin à travers sa création et celle de l’Univers pour entrapercevoir le plan divin dans la création. Il doit reconnaître son Seigneur, revenir vers Lui afin de Lui vouer ce culte exclusif qui Lui sied, tant dans Son Essence, Sa divinité que Sa seigneurie. Ainsi, il pourra sereinement cheminer ici-bas vers son au-delà en conciliant les deux sphères dans lesquelles il gravite : matérielle et spirituelle, mondaine et religieuse, profane et sacré.
J’écoute et je lis dans les diverses langues qu’il m'est possible de comprendre et j’ai remarqué une constante qui revient en cette période d’incertitude face à ce coronavirus : la majorité des dirigeants, gouvernants, scientifiques, etc. ont laissé Dieu au pas de la porte. Ils ne prononcent quasiment jamais le mot de Dieu et encore moins Son nom. De même, rarement figurent une profonde prise de recul, un réel examen de conscience et surtout une véritable vision holistique. Dieu n’est que chimère, vaine utopie, un vestige du passé et des temps anciens qui a été supplanté par Mère Nature, la Science, et le Surhomme.
Le système actuel est définitivement un système autocentré sur l’Homme pour l’Homme où celui-ci est à la fois objet et sujet et l’élément central autour duquel tout doit graviter. Bien évidemment, cela se fait au détriment de toutes les autres créatures en faisant peu de cas de leur condition et situation, en les reléguant à de simples données statistiques dans le plus vil des mépris et en y accordant uniquement une attention de façade afin de se donner bonne conscience excepté une infime minorité de personnes à qui Dieu a fait miséricorde.
Dans sa globalité, le rouleau compresseur de ce système mondialisé a tout pollué, au sens propre comme au sens figuré : l’air et l’espace, la mer et les océans, la terre et les sols, les animaux et les plantes, etc. Rien n’a été épargné, pas même la pollution physique de nos corps ou psychique de nos cerveaux, sans parler de notre bien le plus précieux : le cœur, cet organe qui par son incessant battement nous permet de vivre dans sa composante physique mais aussi par son discernement -en tant que réceptacle de la foi- nous permet de vivre dans sa composante spirituelle.
En voulant exister et être quelqu’un, l’Homme a oublié de vivre sa vie et l’a vécu par procuration à travers la vie d’autres personnes; en oubliant sa personne et qui il est vraiment, il s’est oublié et s’est perdu alors Dieu l’a oublié et l’a livré à lui-même et à tous ses vils penchants. Pourtant, comme le disait Kierkegaard, le potentiel est là et il est immense, connaître ce potentiel c’est devenir... mais c’est aussi terrifiant!
Voilà pourquoi, cette pandémie doit être considérée sous l’angle d’un prisme qu’on doit observer selon toutes ses faces afin d’avoir une vision la plus globale et la plus juste possible et non pas s’arrêter à un simple événement hors norme et inédit dans les diverses réactions qu’elles entraînent et les solutions qui sont proposées pour y faire face. Car à situation inédite, solution inédite. Face à cette pandémie, les réactions sont diverses et plurielles et elles pourraient se résumer comme suit :
- Certains pensent que celle-ci est un juste «retour de bâton» après tout ce qui a été infligé à la Terre par l’Homme. Et pour ces gens, ceci est un châtiment divin.
- D’autres sont stupéfaits de voir le système être ébranlé et vaciller dans toutes ses fondations : commerciales, économiques, financières, industrielles, logistiques, sanitaires, sociétales, etc. Et pour ces gens, tout doit être mis en œuvre pour éviter le «crash».
- D’autres encore présupposent que ceci est le crépuscule sonnant le glas d’un système, si patiemment et savamment édifié siècles après siècles, qui est sur le point de s’effondrer. Et pour ces gens, ceci est signe de satisfaction.
- D’autres enfin y voient un énième complot orchestré dans les arcanes de la gouvernance mondiale et les hautes sphères du pouvoir. Et pour ces gens, ceci n’est que «business», «eugénisme» et «lobbyisme corporatiste».
Des lignes, des pages, et même un livre pourrait être consacré en guise d’analyse, de décortication, etc. concernant l’ensemble de ce que nous traversons et vivons actuellement aussi bien à la lumière de la raison que de la religion et en faisant intervenir divers paramètres et maintes références mais là n’est pas mon propos. En outre, écrire dans le feu de l’action est souvent synonyme de précipitation empreinte d’émotion instantanée et non le signe de pondération empreinte de raison gardée.
Peut-être, un jour, m’attellerais-je -si Dieu le veut -à l’écriture de quelque chose beaucoup plus consistant et pertinent sans céder aux sirènes de propos réducteurs et simplistes. Toujours est-il qu’ici je me suis refusé à citer quoique ce soit comme références et sources, qu’elles soient profanes ou sacrées, notamment la citation de versets coraniques, de hadiths prophétiques, de propos liés à l’eschatologie qu’elle soit biblique ou musulmane, ainsi que tant d’autres ressources scripturaires diverses et variées.
Vous aurez donc compris mon propos général et sa portée globale. Ce que j’ai voulu dire dans ce billet est que nous ne sommes pas seuls à la surface de la Terre. Dans son célèbre poème : «No man is an Island...», John Donne, illustre poète anglais du 16e siècle, dont Ernest Hemingway s’inspirera pour intituler son livre : «Pour qui sonne le glas», évoque et souligne ce point. Nous ne sommes qu’un élément, certes important, dans cet immense échiquier de la Création divine mais nous nous inscrivons dans un tout dans lequel un rôle fondamental et principal nous est dévolu afin de maintenir l’équilibre et la pérennité de cet environnement qui nous entoure.
L’Homme est dépendant, qu’il l’accepte ou non ; nous vivons une époque d’interdépendance, que nous le voulions ou non. Au-delà d’être un simple fait, c’est une évidence concrète. L’Homme fait partie d’un ensemble et à ce titre il a une double responsabilité : d’une part vis-à-vis de lui-même et d’autre part vis-à-vis de cet ensemble avec lequel il interagit et pour lequel les deux seront interrogés par Dieu au Jour du Jugement. C’est donc une immense responsabilité qui nous incombe et comme nous l’avons dit, un temps viendra où la Terre témoignera elle-même devant Dieu de notre attitude et conduite lorsque nous la foulions du temps de notre vivant à sa surface.
Ainsi donc, si cette pandémie doit constituer un tant soit peu une brève accalmie et un court répit pour toutes ces créatures et espèces, tous ces éléments et règnes, etc. Alors qu’il en soit ainsi et que Dieu nous préserve et nous protège tous. Nous bafouons inlassablement, quotidiennement et sciemment cette Terre et l’ensemble de ce qu’elle contient à sa surface, en son sein et dans le ciel depuis tant d’années...
Rarement nous éprouvons une once de compassion et d’empathie, plutôt ce n’est souvent que déni et oubli de notre part du fait de notre insouciance ou connivence, chacun optera personnellement pour le nom à choisir. Toutefois, il faut reconnaître que ces dernières années ont enfin été marquées par une certaine prise de conscience car il y avait «le feu à la maison Terre».
Par conséquent, la survenue de cette pandémie à notre époque précise recèle et révèle une immense sagesse divine sur laquelle nous devons nous interroger et nous remettre en question et pas seulement porter un regard furtif avec toujours les mêmes analyses, explications ou théories aussi diverses soient-elles, «complotistes» ou autres.
En effet, que celle-ci dure quelques semaines, quelques mois, ou plus, cela ne suffira jamais à corriger et réparer tout ce que l’homme a dévasté et saccagé depuis tant d’années. Il est temps de réfléchir concrètement, sincèrement et véritablement à un nouveau modèle de développement qui placera cette fois-ci l’humain au cœur du système et non plus l’Homme. Ceci n’est pas un élément de langage ni une simple nuance, c’est un élément déterminant et une grande différence.
Par ailleurs, force est de constater que lorsque Dieu entreprend une guerre, Il la fait proprement. Cette pandémie n’apporte pas de bombardements aveugles, de destructions massives, de dommages collatéraux, et tant de choses auxquelles l’Homme nous a habitué lorsqu’il a dévoilé son visage le plus sombre au cours de l’Histoire et son cortège sinistre de batailles, conflits, guerres, etc.
Combien d’atrocités et d’actes de cruauté en tout genre l’Homme a-t-il commis pour telle ou telle idéologie ou tel ou tel intérêt ? L’environnement qui l’entourait et dans lequel il évoluait paisiblement en a souvent fait les frais, mais ce sont surtout ses propres semblables qu’il côtoyait et avec lesquels il vivait auparavant en harmonie qui ont trinqué.
Enfin, fait étonnant ou révélateur, je laisse à chacun le soin de choisir son adjectif, les animaux et les enfants sont épargnés par cette pandémie : aucune victime. En effet, voilà bien là un signe pour les doués de raison. Cette fois-ci, aucune épizootie quelconque : pas de fièvre aphteuse, pas de grippe aviaire, pas de vache folle, pas d’abattage de masse de pauvres animaux et bêtes domestiques sur l’autel de la folie humaine pour éradiquer une maladie. Non, là... Rien. Nada. Wallou.
Il en est de même des enfants, ces êtres encore purs, car baignés dans leur saine prédisposition innée et naturelle penchant vers l’innocence et l’insouciance qui les caractérise et que de tant de courants de pensées ou autres idéologies en «-isme» qu’ils aient pour nom: athéisme, capitalisme, communisme, libéralisme, mercantilisme, nationalisme, etc. se sont inlassablement efforcés au fil du temps de les soustraire à cette innocente prédisposition, et cela génération après génération par un processus d’aliénation et d’uniformisation les dépouillant de tout, de leur créativité jusqu’à leur propre identité.
Cela n’est pas sans rappeler certaines sociétés et certains systèmes magnifiquement écrit et décrit par des auteurs comme Aldous Huxley ou Georges Orwell dans leurs romans d’anticipation: «Le meilleur des mondes» et «1984» dont nous conseillons vivement la lecture. Pour conclure, pendant que je couchais par écrit cette réflexion personnelle, je pensais à une parole de Victor Hugo, un auteur dont j’ai toujours apprécié la plume. Dans «Extrait de l’âne», celui-ci a dit :
«L’Homme manque à sa tâche divine : je cherche un édifice et je ne trouve que ruine.»
Notre monde tombe littéralement en ruine et l’Homme ne se montre pas à la hauteur du défi. Quant au croyant, on attend autre chose de lui. Au lieu de rayonner, se sublimer et de montrer le meilleur de lui-même, il esquive, s’efface, voire se renferme sur lui-même.
Comment retrouver le lustre d’antan quand depuis des lustres on cherche des gens illustres !?
Comment retrouver la grandeur et la splendeur lorsqu’on baigne dans la peur et la torpeur !?
Comment porter haut le flambeau lorsqu’on se départit de tout ce qui est beau !?
Comment redevenir le phare lorsque chacun d’entre nous met du fard !?Comment devenir lorsqu’on ne voit rien du tout survenir !?
Comment être lorsqu’on ne cherche qu’à paraître !?
Comment pouvoir sans vouloir !?
Ce n’est pas du fatalisme ni du pessimisme d’autant plus que le croyant est une personne optimiste et pragmatique. En fait, c’est un constat amer et une dure réalité de plus en plus prégnante. En citant Hugo, je me demande ce qu’il dirait -ou plutôt comment agirait-il car Hugo était avant tout un homme engagé- s’il voyait l’état dans lequel nous avons mis à sac de fond en comble cette Terre dans lequel nous vivons et avons bafoué l’humain…
On cherche de l’eau sur Mars alors que juste à côté de notre porte, combien de personnes n’ont pas accès à l’eau potable ou sont rationnés ou boivent de l’eau impropre à la consommation ou encore tant d’autres chose. Et que dire de ce nombre de pays sans cesse croissant qui souffre de stress hydrique qui laisse augurer de futurs conflits mondiaux aux enjeux mondiaux multiples.
Et tant de choses qui peinent les cœurs, amènent les pleurs et emmènent au loin les ardeurs…
Puisse Dieu éclairer le chemin de l’Humanité vers ce qu’il y a de meilleur. Le jour succède toujours à la nuit et alors point la lueur
Nouvelles heures pour un nouveau labeur
On œuvre pour notre Seigneur
Car il est notre Créateur.
Ceci est déjà en soi honneur et grandeur
Pour de simples et humbles serviteurs
Qui espèrent en des jours meilleurs.
MP
Love to read it,Waiting For More new Update and I Already Read your Recent Post its Great Thanks. merchant services agent
You there, this is really good post here. Thanks for taking the time to post such valuable information. Quality content is what always gets the visitors coming. Shrooms for sale
If you are looking for more information about flat rate locksmith Las Vegas check that right away. 犀利士
Wow, What a Excellent post. I really found this to much informatics. It is what i was searching for.I would like to suggest you that please keep sharing such type of info.Thanks office desks
The best dark web sites collection with 100s of dark web links for Darknet Markets, Tor Email Providers and Dark Web Forums.
وکیل طلاق تهران متخصص وکلای تهران برترین گروه حقوقی ومدافع حقوق 09121404305 وکیل طلاق Jasa pembuatan tesis pengendalian hama gudang Biodata Mark Indonesian Idol Cara Mendapatkan Battle Poin Mobile Legends Gratis info kalsel cara menjaga kesehatan rambut cara menjaga kesehatan rambut cara menjaga kesehatan rambut Printable Worksheets cara flash xiaomi redmi 3 Cara Flash Asus Zenfone 5 Nonton video dapat uang
You have beaten yourself this time, and I appreciate you and hopping for some more informative posts in future. Thank you for sharing great information to us. 威而鋼 || 威而鋼適合心臟病患者